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LES GRANDES FICTIONS DE LA TELEVISION

LES GRANDES FICTIONS DE LA TELEVISION - La Terreur et la Vertu

Index de l'article
LES GRANDES FICTIONS DE LA TELEVISION
Cyrano de Bergerac
Dom Juan
La Mégère Apprivoisée
Le Golem
Les Joueurs
L'Espagnol
Délire à deux
Les Perses
L'Auto Rouge
Le Mariage de Figaro
La Terreur et la Vertu
Les Verts Pâturages
La Séparation
Toutes les pages

LA TERREUR ET LA VERTU Réalisé par Stellio Lorenzi – 1964 – 1ère Partie 1h58 – 2ème Partie 1h46 - Image : Roger Dormoy, Marcel Weiss – Son : Claude Leduc – Costumes : Monique Duman – Décors : Jacques Chalvet - Avec : Jean Négronit, Jacques ferrière, Roger crouzet, Denis Manuel, François Maistre, Claude Debord, William Sabatier

Issu de l’émission « La caméra explore le temps » créée en 1957 par Stellio Lorenzi, André Castelot et Alain decaux.

1re partie : Danton 1h58 : Alors qu’en mars 1793 la Révolution française se durcit, Danton (Jacques Ferrière), chef de file des « Indulgents », reste partisan d’une politique d’apaisement. De novembre 1793 à avril 1794, Robespierre (Jean Négroni), soucieux de renforcer le pouvoir de la Révolution, envoie successivement à la guillotine un grand nombre de membres de la Convention. Danton n’y échappera pas.

2e partie : Robespierre 1h46 : D'avril à juillet 1794, Robespierre forme un triumvirat avec Saint-Just et Couthon. Il tente d'instaurer son idéal, fondé sur la vertu, et en temps de crise révolutionnaire, sur la Terreur. En mai, il institue le culte de l'Être Suprême. Mais ses nombreux ennemis lui reprochent d'établir une dictature pour son propre compte et, le 27 juillet 1794, Robespierre est arrêté avec Saint-Just et Couthon.

Si, pour une fois, la notion d'école des Buttes-Chaumont pouvait s'appliquer ce serait à cette version - en direct, nous dirions aujourd'hui en « live » - de la confrontation Danton / Robespierre voulue par Stellio Lorenzi dans la célèbre série « La caméra explore le temps » dont il partagea la paternité avec André Castelot et Alain Decaux. Lorenzi, dans la mémoire collective de la télévision, c'est l'apothéose du direct de plateau, aventure menée de sa part dans la plus grande rigueur technique et artistique et le plus grand succès. Et lorsqu’en 1965, le gouvernement gaulliste voudra marquer son emprise de patron sur les programmes, c'est l'émission de Lorenzi, communiste, émission phare des années 1960, qu'il supprimera d'un trait de plume, créant un scandale dont on imagine mal à présent l'impact. Marcel Bluwal

VU - L'avis de Ciné-Zoom :  Zooms - Par Gérard Chargé ( bientôt en ligne)



 

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