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74ème FESTIVAL INTERNATIONAL DU FILM DE CANNES 2021

74ème FESTIVAL INTERNATIONAL DU FILM DE CANNES 2021 - Cannes Classics

Index de l'article
74ème FESTIVAL INTERNATIONAL DU FILM DE CANNES 2021
Le Jury officiel
Sélection officielle en compétition
Sélection officielle hors-compétition
Le jury Un certain Regard
Le jury Caméra d'or
Sélection Un certain regard
Le jury CINEFONDATION et Courte-métrage
La sélection officielle court-métrage en compétition
LA CINEFONDATION
L'atelier CINEFONDATION
Le cinéma pour le climat
Cannes Classics
Le Cinéma de la plage 2021
Le palmarès
Toutes les pages
CANNES CLASSICS
 
Comme chaque année, le Festival de Cannes présente le meilleur des copies restaurées et nous invite à revisiter l'histoire du cinéma.


Hommage à Bill Duke :
The Killing Floor de Bill Duke (1985, 1h58, États-Unis)
En présence de Bill Duke et de la productrice exécutive et coscénariste Elsa Rassbach.

Kinuyo Tanaka, actrice et réalisatrice
Kinuyo Tanaka, une des plus grandes actrices japonaises, réalisa son premier film en 1953, sélectionné d’emblée en Compétition pour le Japon à Cannes en 1954. Elle y revint en 1961 et 1964 comme interprète. Elle fut la seule cinéaste active de l’âge d’or du cinéma japonais et son deuxième long métrage présenté ici est le reflet de son immense talent. Cette nouvelle version restaurée en 4k par la Nikkatsu inaugure l’événement Tanaka, une rétrospective à venir de ses 6 films.
Tusk wa noborinu (La Lune s’est levée / The Moon Has Risen) de Kinuyo Tanaka (1955, 1h42, Japon)
 
Ana Mariscal, l’Espagne au féminin
Réalisatrice pionnière du cinéma ibérique, l’actrice, scénariste et productrice espagnole Ana Mariscal mit en scène dix films, aussi anticonformistes que visuellement splendides. En avant-goût de la découverte de son œuvre, voici la chronique nostalgique d’un modeste village espagnol dans les années 60.
El camino (Le Chemin / The Path) d’Ana Mariscal (1964, 1h31, Espagne)
 
Oscar Micheaux
Le premier réalisateur afro-américain de l’histoire du cinéma américain à l’honneur dans une sublime copie restaurée de l’un de ses plus grands films accompagné d’un passionnant documentaire.
Murder in Harlem d’Oscar Micheaux (1935, 1h36, États-Unis)
projection sera précédée de : Oscar Micheaux - The Superhero of Black Filmmaking de Francesco Zippel.  (1h20, Italie)
En présence de Francesco Zippel

Orfeu Negro, Palme d’or 1959
Orfeu Negro (Black Orpheus) de Marcel Camus (1959, 1h45, France / Brésil / Italie)

Rossellini et les « Cahiers du Cinéma »
Tandis que la Cineteca di Bologna poursuit sa visite de l’œuvre de Rossellini, les « Cahiers du Cinéma » célèbrent leur histoire à Cannes. Le cofondateur de la revue, André Bazin, fut membre du Jury en 1954 et ils ont été invités à chacun de leur anniversaire. Quoi de mieux que de projeter la copie restaurée d’un film de Roberto Rossellini, présent à Cannes dès sa première édition, et que Bazin et Truffaut considéraient comme une figure majeure du cinéma contemporain ? Les Onze Fioretti de François d’Assise fut chroniqué dès le premier numéro d’avril 1951.
Francesco, giullare di Dio (Les Onze Fioretti de François d’Assise / The Flowers of St. Francis) de Roberto Rossellini (1950, 1h27, Italie)



Les films restaurés de Cannes Classics 2021

La Drôlesse (The Hussy) de Jacques Doillon (1978, 1h30, France)
En présence de Jacques Doillon

I Know Where I’m Going! (Je sais où je vais !) de Michael Powell et Emeric Pressburger (1945, 1h32, Royaume-Uni)

Lumumba : la mort du prophète (Lumumba : Death of a Prophet) de Raoul Peck (1990, 1h09, France / Allemagne / Suisse / Belgique / Haïti)

Friendship’s Death de Peter Wollen (1987, 1h18, Royaume-Uni)
En présence de Tilda Swinton

Bal poussière d’Henri Duparc (1989, 1h33, Côte d’Ivoire)

La Double Vie de Véronique (The Double Life of Veronique) de Krzysztof Kieślowski (1991, 1h38, France / Pologne)

F for Fake (Vérités et Mensonges) d’Orson Welles (1973, 1h25, France/ Iran / Allemagne)

Yashagaike (L’Étang du démon / Demon Pond) de Masahiro Shinoda (1979, 2h04, Japon)

La guerre est finie (The War is Over) d’Alain Resnais (1966, 2h01, France)

Échec au porteur (Not Delivered) de Gilles Grangier (1957, 1h27, France)

Chère Louise (Louise) de Philippe de Broca (1972, 1h45, France / Italie)

Napló gyermekeimnek (Journal intime / Diary for My Children) de Márta Mészáros (1983, 1h49, Hongrie)
En présence de la réalisatrice Márta Mészáros et du chef opérateur Nyika Jancsó

Až přijde kocour (Un jour, un chat / The Cassandra Cat) de Vojtech Jasný (1963, 1h45, République tchèque)
En présence de l’actrice Emília Vašáryová

Monanieba (Le Repentir / Repentance) de Tenguiz Abouladzé (1984, 2h33, Géorgie)
En présence de l’acteur Avtandil Makharadze et de la scénariste Nana Janelidze

Dan četrnaesti (Le Quatorzième Jour / The Fourteenth Day) de Zdravko Velimirović (1960, 1h41, Monténégro / Serbie)

Il cammino della speranza (Le Chemin de l’espérance / The Path of Hope) de Pietro Germi (1950, 1h45, Italie)

Letter from an Unknown Woman (Lettre d'une inconnue) de Max Ophüls (1948, 1h27, États-Unis)

Mulholland Drive de David Lynch (2001, 2h25, États-Unis)



Cannes Classics 2021 : les documentaires

The Storms of Jeremy Thomas (Les Tempêtes de Jeremy Thomas) de Mark Cousins (1h29, Royaume-Uni)
En présence de Jeremy Thomas et de Mark Cousins

Satoshi Kon, l’illusionniste de Pascal-Alex Vincent (1h21, France / Japon)
En présence de Pascal-Alex Vincent

Buñuel, un cineasta surrealista de Javier Espada (1h23, Espagne)
En présence de Javier Espada

Montand est à nous (All About Yves Montand) d’Yves Jeuland (1h40, France)
En présence d’Yves Jeuland et de Vincent Josse

The Story of Film: a New Generation de Mark Cousins (2h40, Royaume-Uni)
En présence de Mark Cousins

Et j’aime à la fureur (Flickering Ghosts of Love Gone By) de André Bonzel (1h50, France)
En présence de André Bonzel



 

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