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| AGNES MERLET |
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Réalisatrice, Scénariste, Productrice française
Née le 4 janvier 1959, Agnès Merlet étudie aux Beaux-Arts d'Orléans avant d'intégrer l'IDHEC. réalise son premier cour-métrage intitulé "Artémésia" en 1982. Elle poursuit avec "L'arcane sans nom" l'année suivante, puis "La Guerre des pâtes" en 1984 et "Poussières d’étoiles" en 1986, lauréat du Prix Jean Vigo.
Très active dans les années 80, elle est également documentariste et "clippeuse". Elle tourne aussi plusieurs clips pour Jean-Louis Murat, Les Innocents, et de nombreux documentaires.
Après avoir obtenu le Prix de Rome pour écrire le scénario de son premier long-métrage, elle réalise en 1993 "Le Fils du requin", son premier long-métrage adapté d'un véritable fait divers, où de deux garçons abandonnés par leur mère se réfugient dans la violence et la petite délinquance. Le film obtiendra de nombreux prix et est nommé au César de la Meilleure première œuvre.
En 1997, Agnès Merlet adapte au format long son tout premier court-métrage : "Artemisia", avec Michel Serrault, elles'intéresse au destin d'Artemisia Gentileschi, fille du peintre Orazio. Ce film d'époque, véritable déclaration d'amour à la peinture, est nommé au Golden Globe du Meilleur film étranger et impose définitivement l'univers de la cinéaste, fort et exigeant.
Il faut patienter prés de dix ans pour voir son film suivant avec "Dorothy", le film se parle d'un psychiatre envoyé au sein d'une communauté irlandaise recluse pour étudier le cas de Dorothy Mills, une adolescente accusée de tentative de meurtre sur un bébé. Dans un exercice périlleux, le film de genre, la réalisatrice livre un thriller perturbant et effrayant qui marque les esprits. Il est par la Hollandaise Carice Van Houten et la jeune Jenn Murray dans le rôle d'une enfant atteinte du syndrome de la personnalité multiple.
En 2011, elle réalise son nouveau film, "Hideaways", un conte fantastique sur un jeune homme maudit et sa rencontre avec une jeune adolescente en révolte et atteinte d’un mal soit disant incurable. Le film reçoit le Melies d'argent au 4ème festival du cinéma fantastique de Strasbourg.
Après avoir obtenu le Prix de Rome pour écrire le scénario de son premier long-métrage, elle réalise en 1993 "Le Fils du requin", son premier long-métrage adapté d'un véritable fait divers, où de deux garçons abandonnés par leur mère se réfugient dans la violence et la petite délinquance. Le film obtiendra de nombreux prix et est nommé au César de la Meilleure première œuvre.
En 1997, Agnès Merlet adapte au format long son tout premier court-métrage : "Artemisia", avec Michel Serrault, elles'intéresse au destin d'Artemisia Gentileschi, fille du peintre Orazio. Ce film d'époque, véritable déclaration d'amour à la peinture, est nommé au Golden Globe du Meilleur film étranger et impose définitivement l'univers de la cinéaste, fort et exigeant.
Il faut patienter prés de dix ans pour voir son film suivant avec "Dorothy", le film se parle d'un psychiatre envoyé au sein d'une communauté irlandaise recluse pour étudier le cas de Dorothy Mills, une adolescente accusée de tentative de meurtre sur un bébé. Dans un exercice périlleux, le film de genre, la réalisatrice livre un thriller perturbant et effrayant qui marque les esprits. Il est par la Hollandaise Carice Van Houten et la jeune Jenn Murray dans le rôle d'une enfant atteinte du syndrome de la personnalité multiple.
En 2011, elle réalise son nouveau film, "Hideaways", un conte fantastique sur un jeune homme maudit et sa rencontre avec une jeune adolescente en révolte et atteinte d’un mal soit disant incurable. Le film reçoit le Melies d'argent au 4ème festival du cinéma fantastique de Strasbourg.
Photos: Thierry Vaslot (A.C.R.)
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