Ciné-Zoom

  • Increase font size
  • Default font size
  • Decrease font size

LE VILAIN

( 31 Votes )
Index de l'article
LE VILAIN
Notre rencontre
Toutes les pages

LE VILAINZoom Comédie

Sortie : le 25 Novembre 2009

VU - 3 Zooms

Film français
Réalisé
par Albert Dupontel
Avec Albert Dupontel…
Comédie – 1h26 -

Rencontre Ciné-Zoom Photos et Vidéo avec Albert Dupontel
au Cézanne à Aix en Provence.

Rencontre Ciné-Zoom avec Albert Dupontel et Catherine Frot au Festival de Sarlat 2009.

Votez en cliquant sur une étoile : de je n'aime pas... à j'aime à la folie  


SÉLECTION OFFICIELLE EN COMPÉTITION
AU 18ème FESTIVAL DU FILM DE SARLAT 2009

LE VILAIN

Titre original : Le Vilain

Distributeur : StudioCanal


Musique originale de Christophe Julien

LE VILAIN

Avec aussi Catherine Frot, Bouli Lanners, Nicolas Marié, Bernard Farcy, Christine Murillo, Philippe Duquesne, Valérie Kirkorian…
 
 

LE VILAIN
 
L'histoire : Un braqueur de banques, le Vilain, revient après 20 ans d'absence se cacher chez sa mère. Elle est naïve et bigote, c'est la planque parfaite. Mais celle-ci découvre à cette occasion la vraie nature de son fils et décide de le remettre dans le "droit chemin". S'en suit un duel aussi burlesque qu'impitoyable entre mère et fils.
 
 
LE VILAINNotre avis : Une comédie haletante et déjantée, pleine de trouvailles, qui  amènent des scènes pleines d'inventions, qui procurent un rire franc et jubilatoire. Un film bien rythmé et efficace à chaque séquence. On est dans le cartoon, qui rappelle les dessins animés de Tex Avery et dans le burlesque des Buster Keaton, Laurel et Hardy et autres. Catherine Frot est irrésistible et complètement crédible. Quant à Dupontel, on ne voit pas qui mieux que lui peut incarner un tel personnage. Une scène complétement hilarante, lorsqu'il se transforme en papi handicapé. Un vrai régal ! Gérard Chargé - 3 Zooms -

Photos et Interviews page suivante.


Rencontre Ciné-Zoom Photos et Vidéo avec Albert Dupontel au Cézanne à Aix en Provence.

Rencontre Ciné-Zoom avec Albert Dupontel et Catherine Frot au Festival de Sarlat 2009. 

 

 

Albert Dupontel "Je définie mon film, comme une fable drolatique".

"L'amour filiale n'est pas toujours ce que l'on croit et c'est ce que je montre dans le film, d'une façon un peu moins féroce que les autres sujets traités auparavant dans mes films précédents. C'est un constat tordu, avec des personnages tordus. C'est un propos qui me préoccupe, c'est entre la farce violente et une certaine douceur, qu'il peut y avoir ici. Ce film-ci est plus tout public, il se rapproche du cartoon et du burlesque. C'est avant tout l'histoire des rapports d'une mère avec son fils, avec en toile de fond, le prétexte d'écorcher les promoteurs immobiliers et leur rapport aux gens, qui doivent vendre leurs maisons sous la pression, afin que ces promoteurs puissent faire autre chose des zones concernées. Dans ce film, il me fallait de la fantaisie."

 

 

 

Albert Dupontel "La plus grosse cascade du film, était de capter Catherine Frot en vieille dame, pour qu'elle soit crédible et je crois qu'on a réussi."

 

"J'ai été viré de la maternelle, voilà un souvenir personnel de vilain".

 

 

 

 

 

Catherine Frot "C'est plus facile de se vieillir, plutôt que de se rajeunir (rires). On a fabriqué un personnage qui fasse oublier son âge à la comédienne, afin qu'il soit cartoonesque. Pour moi, c'est un masque de la Comédia del' Arte. Il fallait que le corps disparaisse dans le vêtement et il fallait trouver à cette petite vieille, une profondeur d'âme et une certaine élégance dans sa modeste vie... J'ai mis du temps avant d'accepter le rôle, je me suis définitivement décidée, 1 mois avant le début du tournage. Cela m'a troublé, car au résultat final de la transformation, elle pouvait être à côté de moi. Je me voyais plus tard, dans ma propre vie, et je voyais ma grand-mère, lorsque je me suis vue. Il y a quelque chose de doux dans cette personne. C'est une femme naîve, mais intelligente. Elle est profonde, tout en ayant une folie douce. Cette petite vieille, ne peut pas mourir tranquille, tant que son fils est vilain et mauvais garçon. C'est pas étonnant, que l'on devienne vilain, si on a eu une éducation trop cocooné et lorsque tout est trop bien et trop beau. Albert a un univers et il va au bout de cela, j'aime bien. En France, il n'y en a pas deux comme lui, on ne sait plus ce qui est vrai ou ce qui est faux avec lui. Cela donne un ton, une poésie. Ce n'est pas une impresion de film formaté, c'est de l'expresion libre avec lui.

 

Rencontre Ciné-Zoom Vidéo avec Albert Dupontel au Cézanne à Aix en Provence (bientôt en ligne).

 

 

 

 

 

Photos : Gérard Chargé

 

Recherche Google

Publicité