Ciné-Zoom

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PARC

( 13 Votes )

PARCSortie : le 14 Janvier 2009

VU - 3 Zooms

Film français
Réalisé
par Arnaud des Pallieres
Avec Jean-Marc Barr…
Drame - 1h49 -

Rencontre Ciné-Zoom avec Jean-Marc Barr aux Variétés à Marseille.

Votez en bas de la fiche : j'aime un peu... à la folie..

PARC
Titre original : Parc

Distributeur : Ad Vitam

 

Musique originale de James Newton Howard

PARC

Avec aussi : Sergi López, Nathalie Richard, Delphine Chuillot, Géraldine Chaplin, Laurent Delbecque, Jean-Pierre Kalfon, Laszlo Szabo, Judith Henry…

 

Site officiel : NC


PARCL'histoire : Un homme vit dans une de ces nouvelles banlieues résidentielles. Marié, il part au bureau le matin, va à la messe le dimanche, aime sa femme, son fils, son chien. Un homme, jeune, beau, riche, intelligent est déchiré entre la sévérité du jugement qu'il porte sur le monde et son désir malgré tout d'y appartenir. Un jour, par hasard, les chemins des deux hommes se croisent. Le banlieusard y voit l'occasion d'une nouvelle et sincère amitié. Le jeune, lui, y trouve une nouvelle raison de vivre : crucifier l'idéal de bonheur de l'homme occidental, et son incarnation en la personne du banlieusard…
 
Rencontre Ciné-Zoom avec Jean-Marc Barr aux Variétés à Marseille.

PARCNotre avis : Ce film nous montre une bourgeoisie en mal de vivre où seul le pouvoir de l’argent et le statut social comptent dans la vie. Le mal être et le manque de repères sont marquants et empêchent ces individus de savourer la vie à pleine dents. Seul TONY fait de la résistance, il est le seul à avoir compris dans ce milieu qu’il fallait aussi et surtout écouter son cœur, et avoir le droit de choisir sa propre voie. Ratiba Tayari - 3 Zooms -

Comme dit Jean-Marc BARR : "Quand j’ai eu le scénario, je l’ai trouvé bizarre, mais j’étais à fond avec Arnaud, qui lui l’a choisi car il le trouve très beau, et qu’il lui fallait un esthète pour jouer le rôle. Il fallait entrer dans ce film à travers son univers sensoriel qui démontre que malgré l’opulence de ces individus et leur richesse, ils sont malheureux et en perte d’humanité. Comme on dit « communément » ils sont à côté de leurs pompes et surtout ils ont oublié la culture du cœur." 

 

 

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