Ciné-Zoom

  • Increase font size
  • Default font size
  • Decrease font size
Accueil Festivals 38ème FESTIVAL DU CINEMA AMERICAIN DE DEAUVILLE 2012 - Les docs de l'oncle Sam
38ème FESTIVAL DU CINEMA AMERICAIN DE DEAUVILLE 2012

38ème FESTIVAL DU CINEMA AMERICAIN DE DEAUVILLE 2012 - Les docs de l'oncle Sam

Index de l'article
38ème FESTIVAL DU CINEMA AMERICAIN DE DEAUVILLE 2012
Le jury
Les films en competition
Les films en première
Le jury revelation
Les docs de l'oncle Sam
Les rendez-vous avec la ville de Deauville
Le palmares
Toutes les pages
LES DOCS DE L’ONCLE SAM


DIANA VREELAND: THE EYE HAS TO TRAVEL
de Lisa Immordino Vreeland - Diana Vreeland, personnalité hors norme, brillante, excentrique, aussi charmeuse qu’impérieuse, régna cinquante-cinq ans durant sur la mode et éblouit le monde par sa vision unique du style. Ce documentaire est à la fois un portrait intime et un vibrant hommage à l’une des femmes exceptionnelles du XXe siècle, véritable icône dont l’influence a changé le visage de la mode, de l’art, de l’édition et de la culture en général.

ETHEL de Rory Kennedy  - Un portrait intime d’Ethel Kennedy, l’épouse du défunt Robert F. Kennedy, par ceux qui la connaissent le mieux : les membres de sa famille. De sa prise de conscience politique à la fin des années 1950 aux années qui ont suivi l’assassinat de son mari, la laissant seule à élever leurs onze enfants... VU - 2 Zooms

FAR OUT ISN'T FAR ENOUGH: THE TOMI UNGERER STORY de Brad Bernstein  - Une représentation de la vie aventureuse de Tomi Ungerer qui a passé son temps à tester les limites de la société à travers une utilisation subversive de son art. Cet auteur de livre pour enfants mais aussi illustrateur a toujours été un rebelle qui, armé d’un esprit acerbe, d’un doigt accusateur et d’un crayon très bien taillé, a su représenter par ses dessins les voix révolutionnaires d’une des périodes les plus excitantes et dramatiques de l’histoire américaine. Ce documentaire examine les circonstances de son ascension vertigineuse et de sa chute tout aussi fulgurante sur le sol américain, de ses années de formation jusqu'à sa période très prolifique aux Etats-Unis.

GAZZARA de Joseph Rezwin  - Ce film est une promenade à travers la vie et la carrière de l'acteur américain Ben Gazzara que le réalisateur Joseph Rezwin avait rencontré en 1977 sur le tournage du film Opening Night de John Cassavetes. Arpentant la ville de New York, Ben et Joseph évoquent les souvenirs du passé, vont sur les lieux où tout a commencé et rencontrent quelques personnes chères à l’acteur. Ils parlent également du théâtre, de l'art, des craintes et des désirs mais aussi de la vie et de la mort. Au fil de leur balade et de leur conversation, ils apprennent à mieux se connaitre et la nature de leur rapport évolue vers une relation père-fils.

METHOD TO THE MADNESS OF JERRY LEWIS de Gregg Barson  - Un regard contemporain sur une véritable légende vivante : Jerry Lewis. Au fil de longs entretiens avec lui, d’images inédites et de témoignages de certains des plus grands noms d'Hollywood, notamment Steven Spielberg, Quentin Tarantino, Eddie Murphy et Jerry Seinfeld, ce documentaire propose une réflexion sans tabous sur une carrière de quatre vingt ans dans le show business. Toujours dynamique et charismatique, Jerry Lewis poursuit son règne comique, au jeune âge mûr de 85 ans. VU - 5 Zooms

ROOM 237 de Rodney Ascher  - En 1980, Stanley Kubrick signe SHINING, qui deviendra un classique du cinéma d’horreur. À la fois admiré et vilipendé, le film est considéré comme une oeuvre marquante du genre par de nombreux spécialistes, tandis que d’autres estiment qu’il est le résultat du travail bâclé d’un cinéaste de légende se fourvoyant totalement. Entre ces deux extrêmes, cohabitent les théories de fans acharnés, convaincus d’avoir décrypté les nombreux messages cachés du film. Ce documentaire mêle les faits et la fiction à travers des interviews de fans et d’experts qui adhèrent à ces théories tout en proposant une relecture du film à travers un montage très personnel. VU - 2 Zooms

SEARCHING FOR SUGAR MAN de Malik Bendjelloul  - Au début des années 1970, Sixto Rodriguez enregistre deux albums sur un label de la Motown. C'est un échec, à tel point qu’on raconte qu’il se serait suicidé sur scène. Plus personne n’entend parler de Rodriguez. Sauf en Afrique du Sud où, sans qu’il le sache, son disque devint un symbole de la lutte contre l’Apartheid. Des années plus tard, deux fans du Cap partent à la recherche de « Sugar Man ». Ce qu’ils découvrent est une histoire faite de surprises, d’émotions et d’inspiration.
 
THE IMPOSTER de Bart Layton - En 1994, un adolescent de 13 ans disparait à San Antonio, au Texas, sans laisser de trace. Trois ans et demi après, on le retrouve vivant, à des milliers de kilomètres, dans un village du sud de l’Espagne. Il a été kidnappé et torturé. Sa famille est soulagée et heureuse de le ramener à la maison. Mais tout ne se passe pas comme prévu. Le jeune homme a bien les signes distinctifs qu’il avait avant (comme son tatouage sur la main), mais pourquoi a-t-il un drôle d’accent ? Pourquoi a-t-il l’air si différent ? Pourquoi est-ce que sa famille ne remarque pas ces flagrantes incohérences ? Quand enfin un détective l’interroge, ce mystérieux conte prend un étrange tournant. VU - 2 Zooms

THE QUEEN OF VERSAILLES de Lauren Greenfield - La réussite de deux personnages au caractère bien trempé, qui font fortune en partant de rien, met en exergue les vertus innées et les failles du rêve américain. Ce couple devenu milliardaire construit triomphalement la plus grande maison des Etats-Unis, un palace de plus de 8 000 m2. En l’espace de deux ans, leur empire tentaculaire, alimenté par la bulle immobilière et l’argent facile, chancelle avec l’arrivée de la crise économique.

WEST OF MEMPHIS d’Amy Berg - Partant d’un examen approfondi de l’enquête policière menée en 1993 après le meurtre de trois garçons de huit ans dans la petite ville de West Memphis, dans l’Arkansas, ce documentaire poursuit l’investigation afin de faire toute la lumière sur l’arrestation et la condamnation des trois autres victimes de ce crime, Damien Echols, Jason Baldwin et Jessie Misskelley. Tous trois adolescents au moment des faits, ils ont été désignés comme les coupables idéaux dès le début de l’enquête policière et ont purgé 18 ans de prison alors qu’ils étaient innocents.



 

Recherche Google

Publicité