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UN POISON VIOLENT

( 8 Votes )

la quinzaineUN POISON VIOLENTSortie : le 4 Août 2010

VU - 2 Zooms

Film français
Réalisé
par Katell Quillevéré
Avec Clara Augarde…
Drame – 1h32 -

Pas de rencontre pour ce film, il existe !

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SÉLECTION OFFICIELLE A LA 42ème QUINZAINE DES RÉALISATEURS : CANNES 2010
ET A LA CAMERA D’OR

 
UN POISON VIOLENT
Titre original : Un  poison violent

Distributeur : Sophie Dulac Distribution
Musique originale de Olivier Mellano


UN POISON VIOLENT
Avec aussi : Lio, Michel Galabru, Thierry Neuvic, Mia Vendome, Stefano Cassetti, Youen Leboulanger Gorvil…

UN POISON VIOLENT
L'histoire : Une adolescente de 14 ans, quitte l’internat et rejoint son village. Elle doit profiter des vacances pour faire sa confirmation, dernière étape dans son engagement catholique. A son arrivée, elle découvre que son père vient de quitter la maison. Sa mère, effondrée par cet abandon, trouve refuge auprès d’un prêtre et ami d’enfance. Elle se raccroche à son grand père, qu’elle adore. Elle se rapproche aussi d’un adolescent libre et solaire, qui se soucie peu de Dieu.
Mais la naissance de son désir pour ce garçon la fait vaciller. Une part secrète d’elle-même cherche à se donner corps et âme, à Dieu où à quelque chose d’autre...

UN POISON VIOLENTNotre avis : Un premier film, qui pose la question de la religion face à la sexualité, ici la religion catholique et ses questionnements sur l'engagement (le célibat des prêtres et les voeux de chastetés éventuels des jeunes filles étant attirées par le dévouement à Dieu. Chaque personnage livre sa part de doute et ses rapports avec le sexe : l'adolescente qui est le centre du film, ainsi que sa mère ressemment séparée de son père, son grand père et ses derniers désirs, le curé qui ne succombe pas à la tentation, etc. Une réflexion sur le rapport à la religion, qui nous interpelle et qui nous montre un rejet compréhensible, que l'on comprend et que l'on peut approuver. La réalisation est classique, mais la démarche et le scénario nous intéresse fortement. L'ensemble de l'interprétation est juste et le casting, sans faille. Gérard Chargé - 2 Zooms -
 

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